Une équipe de foot et son pays…

« On ne change pas une équipe qui gagne », dit le dicton

et une équipe qui perd? que faire?

Nous avons vu en 1998 à quel point autour de ses champions, le pays entier s’est rassemblé, a fait la fête, a effacé un temps les divisions.

Aujourd’hui notre équipe de foot reflète-t-elle la morosité générale? Quelle différence avec nos voisins italiens!

Comment trouver cette alchimie entre les membres d’un groupe pour que celui-ci devienne un gagnant?  

Le « un pour tous, tous pour un »  des  quatre mousquetaires passe par un sentiment d’appartenance, d’identité.  L’individu se met au service du groupe, il veut donner le meilleur de lui-même.

L’intérêt personnel se fond dans l’intérêt de l’ensemble pour servir l’orientation et le but fixés.

Pour instaurer une culture de partage, la communication doit être une priorité.

Communiquer donne la confiance, l’envie d’échanger, de collaborer, de progresser ensemble.

Tous deviennent soudés, solidaires, tendus vers un même but, le plus souvent autour d’un leader ou manager qui fédère.

Le leader sait repérer le meilleur de chaque membre du groupe et le potentialise.

Le manager ne doit pas faire s’adapter son équipe à un contexte, mais proposer un contexte adapté à l’équipe.

Le rôle du chef d’équipe est d’organiser et accompagner le travail de son équipe.

Chacun peut avoir son mot à dire et pourra adhérer d’autant mieux aux objectifs.

Chacun pourra ainsi s’approprier le travail de l’ensemble.

La cohésion d’une équipe est la première condition de son efficacité et de ses performances.

Que ce soit une équipe de foot, une famille, une entreprise, un pays…c’est le même mécanisme.

Dites-moi comment vous feriez si vous étiez à la tête de l’équipe?

Exprimez vos idées dans les commentaire, cela est d’intérêt général…